lundi 10 novembre 2008

THE PSYCHIATRIST OF THE BLOC QUEBECOIS

Mes amis,

La population est en sécurité: le Bloc Québécois s'est adjoint les services d'un psychiatre pour déterminer du bien fondé des demandes d'intervention que le poublic lui adresse: l'attaché politique Bruno Pilote semble avoir obtenu des compétences pour jauger de la santé mentale des québécois.

Les détails sont mentionnés à l'article ci-joint.

Je vous encourage à écrire une lettre à Monsieur Gilles Duceppe pour le remercier de prendre si bien en considération les droits de ses constituants: ducepq1@parl.gc.ca

Salutations,

Marie-Claude Montpetit

GILLES DUCEPPE A UN ATTACHÉ POLITIQUE QUI EST PSYCHIATRE


Le 15 mai 2008, Marie-Claude Montpetit a requis à nouveau l'intervention et le support de Monsieur Gilles Duceppe relativement à la problématique de la facilitation politique canadienne de la traites sexuelle des migrants au Canada.


Depuis cette date, Marie-Claude Montpetit a demandé à de nombreuses reprises de rencontrer son député fédéral, Monsieur Gilles Duceppe, mais son droit de constituante a continuellement été bafoué et renié par l'attaché politique dénommé Bruno Pilote. Un grand sage celui-là!


Encore une fois aujourd'hui, le 10 novembre 2008, Madame Montpetit a tenté de solliciter une rencontre avec Monsieur Duceppe. Lors de la conversation qu'elle a eue avec l'attaché Pilote, elle s'est fait répondre que ce droit ne lui serait pas accordé et qu'elle n'obtiendrait pas le support requis au Bloc Québécois par cause de l'article rédigé par Patrick Lagacé et publié dans La Presse au mois d'octobre 2008.


Il est à noter que dans cet article publié au feuillet Libéral qu'est le journal La Presse, Lagacé a produit un article mensonger et diffamant Marie-Claude Montpetit, la traitant de fille en manque de phamacologie et supposant qu'elle serait atteinte de maladie mentale.


C'est donc sur ces suppositions que le «psychiatre Pilote» a jaugé adéquat de refuser à Madame Montpetit l'aide et le support qu'elle sollicitait auprès de Monsieur Gilles Duceppe.


C'est tout de même rassurant de savoir que le chef du Bloc Québécois est si bien entouré et que Bruno Pilote peut prendre à sa place des décisions qui ne lui reviennent pas.


Moi, si j'étais Monsieur Pilote, avant de supposer que les autres ne sont pas sains d'esprit du fait qu' ils s'engagent dans la dénonciation de la facilitation de l'immigration sexuelle au Canada, j'apprendrais d'abord à écrire. Je vous laisse en juger par les fautes d'orthographe dont l'une de ses lettres fait la démonstration.


Marie-Claude (Ginette) Montpetit

JACQUES DUPUIS : HIDING CRIMINALS IN HIS TEAM

Marie-Claude Ginette Montpetit | depuis 5 heures


Par suite d'accusations non fondées «enquêtées» et conduites à l'encontre de Marie-Claude Montpetit par des membres du Service de police de Montréal et des procureurs relevant de la Direction des poursuites pénales et criminelles, Madame Montpetit a été flouée d'une somme attaeignant presque deux millions de dollars pour faire valoir judiciairement sa non culpabilité.


Le 11 février 2008, après la tenue de procédures judiciaires inutiles et ayant occasionné des frais pareillement inutiles aux contribuables (des procédures ayant duré 4 ans pour une fraude alléguée de 3000 00$) la Cour du Québec a prononcé pour une deuxième fois la non culpabilité de Marie-Claude Montpetit à même un jugement blâmant sévèrement le SPVM et la Direction des poursuites pénales et criminelles.


Dans son jugement, la Cour mentionne que n'eut été de la grave incompétence du SPVM, Marie-Claude Montpetit n'aurait jamais été arêtée par le policier Laferrière qui s'est auto-déclaré avoir été dépressif au moment de l'arrestation et n'ayant pas la compétence pour conduire une enquête impliquant des questions d'immigration. Pareillement, la Cour a jugé que n'eut été de l'incompétence des procureurs de la Direction des poursuites pénales et criminelles, l'acte d'inculpation rédigé par eux ne se serait jamais retrouvé à être jugé vue l'absence totale de preuve qui l'accompagnait.


En dépit des fautes graves commises par les gens de l'équipe de Jacques Dupuis, celui-ci pérennise le cycle des injustices commises à l'encontre de Marie-Claude Montpetit en la contraignant à dépenser à nouveau de l'argent pour faire valoir ses droits à un dédommagement civil.


Jacques Dupuis qui se dit fier d'avoir été l'élève des Jésuites semble avoir oublié leurs leçons d'humilité et d'humanité. Mais il se peut qu'il était déjà sour aux moments de leurs enseignements.


Où êtes-vous, Môssieu le ministre lorsqu'il s'agit de prendre vos responsabilité?


Êtes-vous en compagnie de Julie Couillard, du père de Robert Pépin ou de Monique Jérôme Forget en train de prévoir les insultes idiotes qu'elle se permet d'adresser à ses adversaires?


Quel âge mental ont nos représentants politiques? Franchement, je me le demande!


Marie-Claude Montpetit

vendredi 7 novembre 2008

JACQUES DUPUIS ÉTAIT-IL MINISTRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE EN FÉVRIER 2008?


Quelles fonctions ministérielles occupait Jacques Dupuis au mois de février 2008, au moment où des membres du Service de police de Montréal usait d'intimidation et de menaces à mon endroit?

Bien selon sa biographie publiée sur le net, aux dates des 7 et 8 février 2008, Jacque Dupuis était bel et bien ministre de la sécurité publique!

Ha, mais il se peut qu'il souffrait alors de surdité ou même, il se peut qu'il ait été aveugle à cette date. C'est nécessairement ce que je me dois de présumer, car à cette même date, je l'informais des menaces et de l'intimidation que me faisaient subir certains membres du Service de police de Montréal, et il ne répondit pas. Un ministre compétent qui ne soit ni sourd ni aveugle n'aurait pas pu rester muet devant de telles allégations, donc Jacques Dupuis était à ces dates absolument sours et aveugle. C'est une évidence!

Il n'est pas permis de conclure autrement, car c'est tout de même étonnant de constater qu'un ministre de la sécurité publique ne soit pas troublé et concerné par de pareilles allégations, qui en passant, ont été confirmées par le Service des affaires internes du SPVM (la police de la police).

Afin de vous informer desdites allégations, je vous en fais part ci-après, telles qu'elles ont été soumises auprès de ce ministre sourd et aveugle et je vous laisse le soin de déterminer si notre ministre de la justice et de la sécurité publique a la probité pour assumer de telles charges:



Montréal, le 4 mai 2008




Transmise par courrier électronique

Production en personne (05-05-2008)


Gouvernement du Québec


Commissaire à la déontologie policière

Monsieur André Sénécal, directeur des plaintes


454, Place Jacques-Cartier

5 ème étage

Montréal, Québec

H2Y 3B3




Objet : Avis de transmission des amendements relatifs à la plainte déontologique déposée aux termes des articles 143, 148 et 150 de la Loi su la police, relativement à la conduite d’un représentant du SPVM, et constituant des actes dérogatoires au Code de déontologie des policiers du Québec

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Monsieur Sénécal,


La présente fait suite à la conversation téléphonique que nous avons tenue le 31 mars 2008 concernant la plainte mentionnée en exergue.


Par suite de votre recommandation de traiter ladite plainte criminellement plutôt que dans le cadre d’une enquête déontologique, j’ai contacté Monsieur Jean-Yves Lazure, enquêteur à la Section des enquêtes spéciales du SPVM, pour lui faire part de notre conversation et de la nécessité d’ouvrir une enquête policière.

En conséquence de cette enquête policière, en date du 1 er mai 2008, Monsieur Lazure a confirmé l’information suivante :


· Que la ligne téléphonique portant le numéro (514) 280-2642 en était une attribuée au SPVM;

· Que cette ligne téléphonique était active au moment de la commission des faits rapportés à la plainte, et qu’elle continue d’être active;

· Que cette ligne téléphonique est branchée à un mur du 3 ème étage de la Place Versailles de Montréal, lieu se trouvant à trois étages au-dessous de l’Escouade des crimes économiques; et

· Que cette ligne téléphonique est accessible à tous les enquêteurs de l’Escouade des crimes économiques.


Le document vous étant joint à la présente constate l’information récemment transmise par Monsieur Lazure.


S’il vous était nécessaire de me contacter, je vous invite à le faire aux coordonnées mentionnées ci-après :


· Adresse postale : 15, rue Notre-Dame Ouest

Suite 406

Montréal, Québec

H2Y 1S5


· Téléphone : (514) 730-1717



Dans l’attente de la suite des procédures, veuillez recevoir, Monsieur Sénécal, l’expression de mes salutations respectueuses.







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Madame Marie-Claude Montpetit,

Plaignante






P.j. / Exposé de la plainte amendée









EXPOSÉ D’UNE PLAINTE SOUMISE AUX TERMES DE LA LOI SUR LA POLICE, ET, DU CODE DE DÉONTOLOGIE DES POLICIERS DU QUÉBEC

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PRÉAMBULE



  1. Entre le 19 septembre 2002 et le 28 avril 2003, en son titre de Conseil spécialisé en droit de l’immigration, la plaignante soussignée a représenté des clients dénommés Maria Stergiou et Karol Lukacs, aux fins de permettre à ce dernier de régulariser sa situation d’immigration illégale au Canada, et d’obtenir postérieurement le statut de résident permanent canadien par le biais d’une procédure de parrainage;


  1. En cours de préparation des procédures gouvernementales requises par la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés, la plaignante soussignée a constaté que ses clients avaient fourni des déclarations et de la documentation frauduleuses à Citoyenneté et Immigration Canada, qui risquaient de remettre en cause le droit de Karol Lukacs à demeurer demandeur de la résidence permanente, et qui, si elles n’étaient pas corrigées, contraindraient la plaignante soussignée à ne pas exécuter complètement son mandat de représentation;


  1. Compte tenu desdites déclarations et documentation, et compte tenu des refus exprimés par Maria Stergiou et karol Lukacs de fournir des déclarations modificatives, la plaignante soussignée a refusé de finaliser l’exécution de son mandat professionnel;


  1. En conséquence de son refus, la plaignante soussignée fut l’objet de menaces proférées par Maria Stergiou, à l’effet qu’elle déposerait des plaintes auprès du SPVM, du Barreau de Montréal, à Citoyenneté et Immigration Canada et devant les tribunaux civils si la plaignante soussignée persistait à refuser d’exécuter la fin de son mandat professionnel;


  1. En dépit des menaces reçues, la plaignante soussignée a maintenu sa décision de ne pas procéder au dépôt des demandes d’immigration frauduleuses, et ce aux fins de protéger ses clients contre la commission d’infractions supplémentaires, et, de ne pas se rendre personnellement complice de ces infractions;


  1. Depuis la survenance des menaces susmentionnées, la plaignante soussignée a été l’objet d’une arrestation pour des chefs d’accusation de fraude et de supercherie ;


  1. Le 20 mai 2003, un rapport d’événement policier a été rédigé par un policier du nom de Lamarre, matricule 323, en relation avec les faits mentionnés au préambule des présentes. Ce rapport est identifié par le numéro d’événement 21-030520-054 et il porte uniquement le code indicateur du PDQ 21, sans spécification d’un numéro d’appel différent de celui du PDQ 21;


  1. Le 12 janvier 2004, la plaignante soussignée a été formellement mise en état d’arrestation par Les SD Ronald Laferière et Gilles Pagé, et elle fut libérée suite à la remise d’une promesse de comparaître;


  1. Conséquemment à l’arrestation mentionnée au paragraphe précédent, au mois de juin 2004, la plaignante soussignée a comparu par l’entremise de son procureur, qui a enregistré un plaidoyer de non culpabilité ;


  1. Le 23 juin 2005, la Chambre criminelle de la Cour du Québec a entamé l’audition de l’enquête préliminaire, qui fut ajournée jusqu’à sa reprise au mois de février 2006, et qui s’est finalement terminée au mois de mars 2006 par le renvoi de la plaignante soussignée à procès, mais non sans que le juge exige que le SPVM vérifie les déclarations faites par les présumées victimes, puisque le juge a mentionné que leur crédibilité était fort douteuse;


  1. Le 12 février 2007, la Chambre criminelle de la Cour du Québec a débuté l’audition du procès qui prit fin le 11 février 2008, par la prononciation de l’acquittement de la plaignante soussignée .







COMPORTEMENTS DÉROGATOIRES SPÉCIFIQUES




Agissant de manières dérogatoires aux devoirs et aux normes de conduite d’un policier :


En dérogations aux paragraphes 1, 2, 4 et 5 de l’article 5.; au paragraphe 2 de l’article 6.; et au paragraphe 1 de l’article 7. du Code de déontologie des policiers du Québec, le représentant du SPVM s’est comporté de manière qui ne préserve pas la confiance et la considération que requiert sa fonction; il a abusé de son autorité dans ses rapports avec la plaignante soussignée; et, il a contribué à empêché la justice de suivre son cours :



12. Entre les mois de septembre 2007 et de février 2008, la plaignante soussignée a reçu de nombreux appels téléphoniques de la part d’une seule et même personne du genre masculin, qui se représentait parfois au titre de policier du SPVM ou d’enquêteur détenant un permis délivré par le ministère de la sécurité publique, mais qui refusait de lui faire connaître ses nom et prénom ou son matricule. Tous ces appels provenaient soit d’un numéro identifié privé ou du numéro (514) 280-2642, tel qu’il appert des relevés téléphoniques, produits au soutien des présentes comme Pièce P-1 ;


13. Les contenus de ces appels téléphoniques étaient tous à l’effet de mettre la plaignante soussignée en garde quant aux dangers physiques qu’elle pourrait encourir si elle se présentait à l’audition de son procès, alors que celle-ci n’avait pas le choix que de s’y présenter, étant requise par la loi d’être présente devant la Chambre criminelle de la Cour du Québec;


14. Aux dates des 7 et 8 février 2008, la fréquence desdits appels téléphoniques s’est accrue et les contenus des menaces y prononcées se sont précisés dans les termes suivants, tel qu’il appert d’une preuve testimoniale, ou par voie d’affidavit à être rendue par un représentant de la firme Garda :


14.1 À la date du 7 février 2008, l’appelant s’est encore une fois identifié comme étant un policier du SPVM et a mentionné qu’il procéderait à l’arrestation de la plaignante soussignée relativement à ce qu’il a appelé «16 autres mandats d’arrestations de fraudes avant la fin de la semaine». Lors de l’appel, ledit appelant a fait usage d’un langage obscène, blasphématoire et injurieux en s’adressant à la plaignante soussignée, lui disant : «Ma tabarnac cte fois cite on te relachera pas sous promesse de comparaître». Il a insisté sur le fait que la plaignante soussignée était une «voleuse» et une «fraudeuse» et, qu’elle était une «grosse parleuse ptite feseuse». Cet appel provenait d’un numéro privé;


14.2 À la date du 8 février 2008, le même appelant s’est à nouveau identifié comme étant un policier du SPVM et il a adressé une menace directe à la plaignante soussignée, lui disant que «si tu tprésentes à Cour lundi, m’a être là. C’est ta sentence lundi. Tu vas être arrêtée. On va t’arrêter pis on va te crisser dans une cellule pis comme t’as changé d’avocat 4 fois, i n’a pas un qui va venir te chercher. I va t’arriver la même chose qu’à Barnabé. Tu connais ça l’affaire Barnabé ?». Cet appel provenait du numéro (514) 280-2642.


14.3 En date du 1 er mai 2008, suite à l’ouverture d’une enquête policière, la plaignante a reçu l’information détaillée ci-après de la part de Monsieur Jean-Yves Lazure, enquêteur de la Section des enquêtes spéciales du SPVM :


1. Que la ligne téléphonique visée par la présente plainte et portant le numéro (514) 280-2642 en était une attribuée au SPVM;


2. Que cette ligne téléphonique était active au moment de la commission des faits rapportés à la présente plainte, et qu’elle continue d’être active;


3. Que cette ligne téléphonique est branchée à un mur du 3 ème étage de la Place Versailles de Montréal, lieu se trouvant à trois étages au-dessous de l’Escouade des crimes économiques; et


Que cette ligne téléphonique est accessible à tous les enquêteurs de l’Escouade des crimes économiques.

Marie-Claude Ginette Montpetit

jeudi 6 novembre 2008

LE MINISTRE JACQUES DUPUIS EST UN «FAISEUX» DE PROCÈS POLITIQUE - MINISTER JACQUES DUPUIS AND HIS POLITICAL TRIALS


En 2004, le procureur de la couronne, Steeve deux e Larivière, initiait des procédures judiciaires criminelles à mon encontre par lesquelles je me retrouvais accusée de fraude et d'escroquerie.

En conséquence de l'initiation de ces procédures, j'ai perdu mon droit de pratiquer la profession de Conseil en immigration et j'ai subi de nombreux autres dommages dont des dommages de nature pécunière s'élevant actuellement à tout près de deux millions de dollars.


Au moment d'entamer l'enquête préliminaire que j'avais requise, ce même Steeve deux e Larivière a admis au juge saisi de l'affaire qu'il ne possédait pas la preuve nécessaire pour étayer les accusations qu'il conduisait à mon encontre, mais qu'il l'obtiendrait éventuellement.


Cette manière de procéder est illégale au Canada. La loi requiert que la conduite d'une accusation ne se fasse que lors ce que des preuves existent et quand celles-ci peuvent d'emblée laisser croire à l'obtention d'une condamnation future.


Entre la tenue de cette enquête et le moment de tenir la conférence préparatoire au procès, ce Steeve deux e Larivière a commis plusieurs actes criminels visant tous à me faire trouver coupable d'accusations qu'il savait ne pas être fondée: des entraves à la justice, de la fabrication de preuve, des parjures et l'initiation d'accusations qu'il savait être fausses.


Peu avant de débuter le procès, ce Steeve deux e Larivière a annoncé qu'il ne pourrait conduire le procès, et ce, de manière à faire perdure les procédures dans le but de me garder continuellement en état d'accusation. L'excuse qu'il a avancée est qu'après huit mois de grossesse de sa présumée épouse (il est gai), il se serait alors rendu compte de cet état de grossesse et voulait donc bénéficier d'un congé de paternité. Mais heureusement que le juge présidant le procès était intègre, cela a permis que je sois avertie que malgré la prétention de Steeve deux e Larivière, qu'il était déjà de retour au Palais de l'injustice. Le congé de paternité n'avait duré que quelques jours.


Il n'avait pas couché souvent dans e lit de sa femme pour ne se rendre compte de sa présumée grossesse qu'après huit mois. Enfin, l'embryon était peut être minuscule.


Depuis 2004, j'ai saisi le ministre bicéphale de l'injustice et de l'insécurité publique et sa dévouée, Marie-Claude Gilbert, de la situation exigeant l'arrêt immédiat de ces procédures outrageantes, mais rien n'y fit. La Justice avait décidé de me charrier jusqu'à mon dernier souffle et mon dernier sous, et c'est ce qui survint.


Pendant le procès, le remplacant de Steeve deux e Larivière, Lucio Garcia, une crapule carrieriste a admis qu'il savait que je n'étais pas coupable, que ce procès était de nature politique, mais qu'il ne disposait pas de la lattitude pour l'arrêter. Cet aveux a été enregistré.


À nouveau, j'ai tenté de saisir le ministre bicéphale Jacques Dupuis, mais n'ayant pas les charmes physiques de la Dame des coeurs Couillard, on ne répondit pas à mes appels, me menaçant même d'ajouter de nouvelles accusations à mon encontre.


Malgré toutes ces illégalités, j'ai été acquittée dans un jugement qui blâme sévèrement la police et les procureurs de la couronne.


Encore une fois, pour éviter de longues et coûteuses procédures civiles, j'ai requis la collaboration de notre ministre bicéphale, mais il demeurait occupé à transiger des contrats avec Robert Pépin et la Dame des coeurs Couillard.


Jacques Dupuis a-t-il la probité pour gérer la justice? Je vous le demande, réagissez. Ce qui m'est arrivé peut affecter quiconque voudrait dénoncer la corruption gouvernementale!


Marie-Claude Montpetit

mercredi 5 novembre 2008

DOES MINISTER JACQUES DUPUIS HAVE THE PROBITY TO ADMINISTER JUSTICE ?

Marie-Claude Ginette Montpetit | depuis 6 minutes



Depuis quelques années, le ministre bicéphale de l'injustice et de l'insécurité publique , Jacques Dupuis, a connaissance que certains policiers du Service de police de Montréal et certains procureurs relevant de la Direction des poursuites pénales et criminelles ont commis des actes criminels.


Les procureurs Lucio Garcia et Marie-Ève Rodrigue ont avoué publiquement que les procédures criminelles entreprises à l'encontre de Marie-Claude Montpetit étaient de nature purement politique et qu'elles étaient la conséquence d'une vendetta conduite à son encontre par le Procureur général du Québec. Ces deux procureurs ont aussi admis savoir que Marie-Claude Montpetit n'était pas coupable des accusations qui étaient pourtant maintenues à son encontre et l'ayant complètement ruinée et privée de ses fonctions professionnelles.


Ces paroles prononcées par les procureurs ont fait l'objet d'enregistrements qui pourront être utilisées dans le cadre des procédures civiles à être entreprsies éventuellement.


D'autres procureurs sont aussi fautifs, dont Martine Leclerc et Steeve Larivière qui ont empêché l'autorisations de plaintes criminelles déposées par Marie-Claude Montpetit, car elles mettaient la Direction des poursuites pénales et criminelles dans l'embarras.


En dépit des demandes d'intervention lui ayant été adressées à ce sujet, notre ministre bicéphale fait la sourde oreille et joue à l'autruche depuis maintenant plus de quatre ans.


Ce ministre est-il digne de solliciter à nouveau la confiance du public?


Jacques Dupuis a-t-il la probité necéssaire pour exercer les fonctions de ministre de la justice et de la sécurité publique?


Je vous invite à vous prononcer sur le sujet!


Marie-Claude Montpetit

Canadian Minister of National Security Jacques Dupuis won't recognize the damages suffered by Marie-Claude Montpetit

SERVICE DE CONSULTATION JURIDIQUE SPÉCIALISÉ

EN DROIT DE L’IMMIGRATION ET EN DROIT CARCÉRAL


15, rue Notre-Dame Ouest, Suite 406
Montréal, Québec, H2Y 1S5
Courriel :mparisi@videotron.c

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Montréal, le 5 novembre 2008

Transmission par courrier électronique

Gouvernement du Québec

Monsieur Jacques Dupuis,

Ministre de la sécurité publique et de la justice

2525, boulevard Laurier

5ème étage

Québec (Québec)

G1V 2L2

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Objet : Demande d’intervention relative aux actes criminels commis par des membres du SPVM et des procureurs relevant de la Direction des poursuites pénales et criminelles du Québec

Dossier 500-01-007048-041 et autres y associés

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Monsieur le ministre,


L’annonce faite ce matin par votre collègue et Premier ministre Jean Charest de précipiter la province dans une élection n’aura fait que très peu d’heureux, mais dont je fais cependant partie.


Cette élection me permettra finalement de faire publiquement appel à votre collaboration, que je sollicite d’ailleurs depuis plusieurs années, relativement aux actes criminels commis à mon encontre par des policiers du Service de police de Montréal et des procureurs relevant de la Direction des poursuites pénales et criminelles du Québec.


Depuis 2003, à la connaissance des policiers et procureurs impliqués, j’ai été illégalement l’objet de diverses plaintes policières et poursuites pénales et criminelles non fondées qui ont résulté en des dommages évalués à près de deux millions de dollars et pour lesquelles je dois continuer de débourser des frais dans le cadre d’une poursuite civile.


Pendant la tenue de ces diverses procédures, les policiers et procureurs qui relèvent de vos autorités ministérielles ont fait des aveux ayant servi à confirmer l’absence totale de fondement des plaintes et procédures conduites à mon encontre. Certains de ces aveux ont été verbalisés en présence d’un des procureurs chargés de ma défense, alors que d’autres l’ont été devant les juges saisis desdites procédures.


Votre persistance à ne pas reconnaître les faits mentionnés précédemment et à pérenniser les dommages qui m’ont été causé et qui continuent de l’être mérite qu’un tel comportement soit connu de vos électeurs et cette occasion me sera donnée pendant la présente campagne électorale. Car j’entends effectivement profiter de cette occasion pour les informer du sort que la justice et la sécurité publique m’ont fait subir sous votre gouverne bicéphale des ministères concernés.


Dans l’attente impatiente de vous rencontrer sur le terrain électoral, je vous adresse mes salutations distinguées.


Marie-Claude Montpetit

C.c. Parti Libéral du Québec, Monsieur Jean Charest

C.c. Parti Québécois, Madame Pauline Marois

C.c. Action Démocratique du Québec, Monsieur Mario Dumont