lundi 10 novembre 2008

THE PSYCHIATRIST OF THE BLOC QUEBECOIS

Mes amis,

La population est en sécurité: le Bloc Québécois s'est adjoint les services d'un psychiatre pour déterminer du bien fondé des demandes d'intervention que le poublic lui adresse: l'attaché politique Bruno Pilote semble avoir obtenu des compétences pour jauger de la santé mentale des québécois.

Les détails sont mentionnés à l'article ci-joint.

Je vous encourage à écrire une lettre à Monsieur Gilles Duceppe pour le remercier de prendre si bien en considération les droits de ses constituants: ducepq1@parl.gc.ca

Salutations,

Marie-Claude Montpetit

GILLES DUCEPPE A UN ATTACHÉ POLITIQUE QUI EST PSYCHIATRE


Le 15 mai 2008, Marie-Claude Montpetit a requis à nouveau l'intervention et le support de Monsieur Gilles Duceppe relativement à la problématique de la facilitation politique canadienne de la traites sexuelle des migrants au Canada.


Depuis cette date, Marie-Claude Montpetit a demandé à de nombreuses reprises de rencontrer son député fédéral, Monsieur Gilles Duceppe, mais son droit de constituante a continuellement été bafoué et renié par l'attaché politique dénommé Bruno Pilote. Un grand sage celui-là!


Encore une fois aujourd'hui, le 10 novembre 2008, Madame Montpetit a tenté de solliciter une rencontre avec Monsieur Duceppe. Lors de la conversation qu'elle a eue avec l'attaché Pilote, elle s'est fait répondre que ce droit ne lui serait pas accordé et qu'elle n'obtiendrait pas le support requis au Bloc Québécois par cause de l'article rédigé par Patrick Lagacé et publié dans La Presse au mois d'octobre 2008.


Il est à noter que dans cet article publié au feuillet Libéral qu'est le journal La Presse, Lagacé a produit un article mensonger et diffamant Marie-Claude Montpetit, la traitant de fille en manque de phamacologie et supposant qu'elle serait atteinte de maladie mentale.


C'est donc sur ces suppositions que le «psychiatre Pilote» a jaugé adéquat de refuser à Madame Montpetit l'aide et le support qu'elle sollicitait auprès de Monsieur Gilles Duceppe.


C'est tout de même rassurant de savoir que le chef du Bloc Québécois est si bien entouré et que Bruno Pilote peut prendre à sa place des décisions qui ne lui reviennent pas.


Moi, si j'étais Monsieur Pilote, avant de supposer que les autres ne sont pas sains d'esprit du fait qu' ils s'engagent dans la dénonciation de la facilitation de l'immigration sexuelle au Canada, j'apprendrais d'abord à écrire. Je vous laisse en juger par les fautes d'orthographe dont l'une de ses lettres fait la démonstration.


Marie-Claude (Ginette) Montpetit

JACQUES DUPUIS : HIDING CRIMINALS IN HIS TEAM

Marie-Claude Ginette Montpetit | depuis 5 heures


Par suite d'accusations non fondées «enquêtées» et conduites à l'encontre de Marie-Claude Montpetit par des membres du Service de police de Montréal et des procureurs relevant de la Direction des poursuites pénales et criminelles, Madame Montpetit a été flouée d'une somme attaeignant presque deux millions de dollars pour faire valoir judiciairement sa non culpabilité.


Le 11 février 2008, après la tenue de procédures judiciaires inutiles et ayant occasionné des frais pareillement inutiles aux contribuables (des procédures ayant duré 4 ans pour une fraude alléguée de 3000 00$) la Cour du Québec a prononcé pour une deuxième fois la non culpabilité de Marie-Claude Montpetit à même un jugement blâmant sévèrement le SPVM et la Direction des poursuites pénales et criminelles.


Dans son jugement, la Cour mentionne que n'eut été de la grave incompétence du SPVM, Marie-Claude Montpetit n'aurait jamais été arêtée par le policier Laferrière qui s'est auto-déclaré avoir été dépressif au moment de l'arrestation et n'ayant pas la compétence pour conduire une enquête impliquant des questions d'immigration. Pareillement, la Cour a jugé que n'eut été de l'incompétence des procureurs de la Direction des poursuites pénales et criminelles, l'acte d'inculpation rédigé par eux ne se serait jamais retrouvé à être jugé vue l'absence totale de preuve qui l'accompagnait.


En dépit des fautes graves commises par les gens de l'équipe de Jacques Dupuis, celui-ci pérennise le cycle des injustices commises à l'encontre de Marie-Claude Montpetit en la contraignant à dépenser à nouveau de l'argent pour faire valoir ses droits à un dédommagement civil.


Jacques Dupuis qui se dit fier d'avoir été l'élève des Jésuites semble avoir oublié leurs leçons d'humilité et d'humanité. Mais il se peut qu'il était déjà sour aux moments de leurs enseignements.


Où êtes-vous, Môssieu le ministre lorsqu'il s'agit de prendre vos responsabilité?


Êtes-vous en compagnie de Julie Couillard, du père de Robert Pépin ou de Monique Jérôme Forget en train de prévoir les insultes idiotes qu'elle se permet d'adresser à ses adversaires?


Quel âge mental ont nos représentants politiques? Franchement, je me le demande!


Marie-Claude Montpetit

vendredi 7 novembre 2008

JACQUES DUPUIS ÉTAIT-IL MINISTRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE EN FÉVRIER 2008?


Quelles fonctions ministérielles occupait Jacques Dupuis au mois de février 2008, au moment où des membres du Service de police de Montréal usait d'intimidation et de menaces à mon endroit?

Bien selon sa biographie publiée sur le net, aux dates des 7 et 8 février 2008, Jacque Dupuis était bel et bien ministre de la sécurité publique!

Ha, mais il se peut qu'il souffrait alors de surdité ou même, il se peut qu'il ait été aveugle à cette date. C'est nécessairement ce que je me dois de présumer, car à cette même date, je l'informais des menaces et de l'intimidation que me faisaient subir certains membres du Service de police de Montréal, et il ne répondit pas. Un ministre compétent qui ne soit ni sourd ni aveugle n'aurait pas pu rester muet devant de telles allégations, donc Jacques Dupuis était à ces dates absolument sours et aveugle. C'est une évidence!

Il n'est pas permis de conclure autrement, car c'est tout de même étonnant de constater qu'un ministre de la sécurité publique ne soit pas troublé et concerné par de pareilles allégations, qui en passant, ont été confirmées par le Service des affaires internes du SPVM (la police de la police).

Afin de vous informer desdites allégations, je vous en fais part ci-après, telles qu'elles ont été soumises auprès de ce ministre sourd et aveugle et je vous laisse le soin de déterminer si notre ministre de la justice et de la sécurité publique a la probité pour assumer de telles charges:



Montréal, le 4 mai 2008




Transmise par courrier électronique

Production en personne (05-05-2008)


Gouvernement du Québec


Commissaire à la déontologie policière

Monsieur André Sénécal, directeur des plaintes


454, Place Jacques-Cartier

5 ème étage

Montréal, Québec

H2Y 3B3




Objet : Avis de transmission des amendements relatifs à la plainte déontologique déposée aux termes des articles 143, 148 et 150 de la Loi su la police, relativement à la conduite d’un représentant du SPVM, et constituant des actes dérogatoires au Code de déontologie des policiers du Québec

__________________________________________________________




Monsieur Sénécal,


La présente fait suite à la conversation téléphonique que nous avons tenue le 31 mars 2008 concernant la plainte mentionnée en exergue.


Par suite de votre recommandation de traiter ladite plainte criminellement plutôt que dans le cadre d’une enquête déontologique, j’ai contacté Monsieur Jean-Yves Lazure, enquêteur à la Section des enquêtes spéciales du SPVM, pour lui faire part de notre conversation et de la nécessité d’ouvrir une enquête policière.

En conséquence de cette enquête policière, en date du 1 er mai 2008, Monsieur Lazure a confirmé l’information suivante :


· Que la ligne téléphonique portant le numéro (514) 280-2642 en était une attribuée au SPVM;

· Que cette ligne téléphonique était active au moment de la commission des faits rapportés à la plainte, et qu’elle continue d’être active;

· Que cette ligne téléphonique est branchée à un mur du 3 ème étage de la Place Versailles de Montréal, lieu se trouvant à trois étages au-dessous de l’Escouade des crimes économiques; et

· Que cette ligne téléphonique est accessible à tous les enquêteurs de l’Escouade des crimes économiques.


Le document vous étant joint à la présente constate l’information récemment transmise par Monsieur Lazure.


S’il vous était nécessaire de me contacter, je vous invite à le faire aux coordonnées mentionnées ci-après :


· Adresse postale : 15, rue Notre-Dame Ouest

Suite 406

Montréal, Québec

H2Y 1S5


· Téléphone : (514) 730-1717



Dans l’attente de la suite des procédures, veuillez recevoir, Monsieur Sénécal, l’expression de mes salutations respectueuses.







_____________________________________

Madame Marie-Claude Montpetit,

Plaignante






P.j. / Exposé de la plainte amendée









EXPOSÉ D’UNE PLAINTE SOUMISE AUX TERMES DE LA LOI SUR LA POLICE, ET, DU CODE DE DÉONTOLOGIE DES POLICIERS DU QUÉBEC

_______________________________________________________________






PRÉAMBULE



  1. Entre le 19 septembre 2002 et le 28 avril 2003, en son titre de Conseil spécialisé en droit de l’immigration, la plaignante soussignée a représenté des clients dénommés Maria Stergiou et Karol Lukacs, aux fins de permettre à ce dernier de régulariser sa situation d’immigration illégale au Canada, et d’obtenir postérieurement le statut de résident permanent canadien par le biais d’une procédure de parrainage;


  1. En cours de préparation des procédures gouvernementales requises par la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés, la plaignante soussignée a constaté que ses clients avaient fourni des déclarations et de la documentation frauduleuses à Citoyenneté et Immigration Canada, qui risquaient de remettre en cause le droit de Karol Lukacs à demeurer demandeur de la résidence permanente, et qui, si elles n’étaient pas corrigées, contraindraient la plaignante soussignée à ne pas exécuter complètement son mandat de représentation;


  1. Compte tenu desdites déclarations et documentation, et compte tenu des refus exprimés par Maria Stergiou et karol Lukacs de fournir des déclarations modificatives, la plaignante soussignée a refusé de finaliser l’exécution de son mandat professionnel;


  1. En conséquence de son refus, la plaignante soussignée fut l’objet de menaces proférées par Maria Stergiou, à l’effet qu’elle déposerait des plaintes auprès du SPVM, du Barreau de Montréal, à Citoyenneté et Immigration Canada et devant les tribunaux civils si la plaignante soussignée persistait à refuser d’exécuter la fin de son mandat professionnel;


  1. En dépit des menaces reçues, la plaignante soussignée a maintenu sa décision de ne pas procéder au dépôt des demandes d’immigration frauduleuses, et ce aux fins de protéger ses clients contre la commission d’infractions supplémentaires, et, de ne pas se rendre personnellement complice de ces infractions;


  1. Depuis la survenance des menaces susmentionnées, la plaignante soussignée a été l’objet d’une arrestation pour des chefs d’accusation de fraude et de supercherie ;


  1. Le 20 mai 2003, un rapport d’événement policier a été rédigé par un policier du nom de Lamarre, matricule 323, en relation avec les faits mentionnés au préambule des présentes. Ce rapport est identifié par le numéro d’événement 21-030520-054 et il porte uniquement le code indicateur du PDQ 21, sans spécification d’un numéro d’appel différent de celui du PDQ 21;


  1. Le 12 janvier 2004, la plaignante soussignée a été formellement mise en état d’arrestation par Les SD Ronald Laferière et Gilles Pagé, et elle fut libérée suite à la remise d’une promesse de comparaître;


  1. Conséquemment à l’arrestation mentionnée au paragraphe précédent, au mois de juin 2004, la plaignante soussignée a comparu par l’entremise de son procureur, qui a enregistré un plaidoyer de non culpabilité ;


  1. Le 23 juin 2005, la Chambre criminelle de la Cour du Québec a entamé l’audition de l’enquête préliminaire, qui fut ajournée jusqu’à sa reprise au mois de février 2006, et qui s’est finalement terminée au mois de mars 2006 par le renvoi de la plaignante soussignée à procès, mais non sans que le juge exige que le SPVM vérifie les déclarations faites par les présumées victimes, puisque le juge a mentionné que leur crédibilité était fort douteuse;


  1. Le 12 février 2007, la Chambre criminelle de la Cour du Québec a débuté l’audition du procès qui prit fin le 11 février 2008, par la prononciation de l’acquittement de la plaignante soussignée .







COMPORTEMENTS DÉROGATOIRES SPÉCIFIQUES




Agissant de manières dérogatoires aux devoirs et aux normes de conduite d’un policier :


En dérogations aux paragraphes 1, 2, 4 et 5 de l’article 5.; au paragraphe 2 de l’article 6.; et au paragraphe 1 de l’article 7. du Code de déontologie des policiers du Québec, le représentant du SPVM s’est comporté de manière qui ne préserve pas la confiance et la considération que requiert sa fonction; il a abusé de son autorité dans ses rapports avec la plaignante soussignée; et, il a contribué à empêché la justice de suivre son cours :



12. Entre les mois de septembre 2007 et de février 2008, la plaignante soussignée a reçu de nombreux appels téléphoniques de la part d’une seule et même personne du genre masculin, qui se représentait parfois au titre de policier du SPVM ou d’enquêteur détenant un permis délivré par le ministère de la sécurité publique, mais qui refusait de lui faire connaître ses nom et prénom ou son matricule. Tous ces appels provenaient soit d’un numéro identifié privé ou du numéro (514) 280-2642, tel qu’il appert des relevés téléphoniques, produits au soutien des présentes comme Pièce P-1 ;


13. Les contenus de ces appels téléphoniques étaient tous à l’effet de mettre la plaignante soussignée en garde quant aux dangers physiques qu’elle pourrait encourir si elle se présentait à l’audition de son procès, alors que celle-ci n’avait pas le choix que de s’y présenter, étant requise par la loi d’être présente devant la Chambre criminelle de la Cour du Québec;


14. Aux dates des 7 et 8 février 2008, la fréquence desdits appels téléphoniques s’est accrue et les contenus des menaces y prononcées se sont précisés dans les termes suivants, tel qu’il appert d’une preuve testimoniale, ou par voie d’affidavit à être rendue par un représentant de la firme Garda :


14.1 À la date du 7 février 2008, l’appelant s’est encore une fois identifié comme étant un policier du SPVM et a mentionné qu’il procéderait à l’arrestation de la plaignante soussignée relativement à ce qu’il a appelé «16 autres mandats d’arrestations de fraudes avant la fin de la semaine». Lors de l’appel, ledit appelant a fait usage d’un langage obscène, blasphématoire et injurieux en s’adressant à la plaignante soussignée, lui disant : «Ma tabarnac cte fois cite on te relachera pas sous promesse de comparaître». Il a insisté sur le fait que la plaignante soussignée était une «voleuse» et une «fraudeuse» et, qu’elle était une «grosse parleuse ptite feseuse». Cet appel provenait d’un numéro privé;


14.2 À la date du 8 février 2008, le même appelant s’est à nouveau identifié comme étant un policier du SPVM et il a adressé une menace directe à la plaignante soussignée, lui disant que «si tu tprésentes à Cour lundi, m’a être là. C’est ta sentence lundi. Tu vas être arrêtée. On va t’arrêter pis on va te crisser dans une cellule pis comme t’as changé d’avocat 4 fois, i n’a pas un qui va venir te chercher. I va t’arriver la même chose qu’à Barnabé. Tu connais ça l’affaire Barnabé ?». Cet appel provenait du numéro (514) 280-2642.


14.3 En date du 1 er mai 2008, suite à l’ouverture d’une enquête policière, la plaignante a reçu l’information détaillée ci-après de la part de Monsieur Jean-Yves Lazure, enquêteur de la Section des enquêtes spéciales du SPVM :


1. Que la ligne téléphonique visée par la présente plainte et portant le numéro (514) 280-2642 en était une attribuée au SPVM;


2. Que cette ligne téléphonique était active au moment de la commission des faits rapportés à la présente plainte, et qu’elle continue d’être active;


3. Que cette ligne téléphonique est branchée à un mur du 3 ème étage de la Place Versailles de Montréal, lieu se trouvant à trois étages au-dessous de l’Escouade des crimes économiques; et


Que cette ligne téléphonique est accessible à tous les enquêteurs de l’Escouade des crimes économiques.

Marie-Claude Ginette Montpetit

jeudi 6 novembre 2008

LE MINISTRE JACQUES DUPUIS EST UN «FAISEUX» DE PROCÈS POLITIQUE - MINISTER JACQUES DUPUIS AND HIS POLITICAL TRIALS


En 2004, le procureur de la couronne, Steeve deux e Larivière, initiait des procédures judiciaires criminelles à mon encontre par lesquelles je me retrouvais accusée de fraude et d'escroquerie.

En conséquence de l'initiation de ces procédures, j'ai perdu mon droit de pratiquer la profession de Conseil en immigration et j'ai subi de nombreux autres dommages dont des dommages de nature pécunière s'élevant actuellement à tout près de deux millions de dollars.


Au moment d'entamer l'enquête préliminaire que j'avais requise, ce même Steeve deux e Larivière a admis au juge saisi de l'affaire qu'il ne possédait pas la preuve nécessaire pour étayer les accusations qu'il conduisait à mon encontre, mais qu'il l'obtiendrait éventuellement.


Cette manière de procéder est illégale au Canada. La loi requiert que la conduite d'une accusation ne se fasse que lors ce que des preuves existent et quand celles-ci peuvent d'emblée laisser croire à l'obtention d'une condamnation future.


Entre la tenue de cette enquête et le moment de tenir la conférence préparatoire au procès, ce Steeve deux e Larivière a commis plusieurs actes criminels visant tous à me faire trouver coupable d'accusations qu'il savait ne pas être fondée: des entraves à la justice, de la fabrication de preuve, des parjures et l'initiation d'accusations qu'il savait être fausses.


Peu avant de débuter le procès, ce Steeve deux e Larivière a annoncé qu'il ne pourrait conduire le procès, et ce, de manière à faire perdure les procédures dans le but de me garder continuellement en état d'accusation. L'excuse qu'il a avancée est qu'après huit mois de grossesse de sa présumée épouse (il est gai), il se serait alors rendu compte de cet état de grossesse et voulait donc bénéficier d'un congé de paternité. Mais heureusement que le juge présidant le procès était intègre, cela a permis que je sois avertie que malgré la prétention de Steeve deux e Larivière, qu'il était déjà de retour au Palais de l'injustice. Le congé de paternité n'avait duré que quelques jours.


Il n'avait pas couché souvent dans e lit de sa femme pour ne se rendre compte de sa présumée grossesse qu'après huit mois. Enfin, l'embryon était peut être minuscule.


Depuis 2004, j'ai saisi le ministre bicéphale de l'injustice et de l'insécurité publique et sa dévouée, Marie-Claude Gilbert, de la situation exigeant l'arrêt immédiat de ces procédures outrageantes, mais rien n'y fit. La Justice avait décidé de me charrier jusqu'à mon dernier souffle et mon dernier sous, et c'est ce qui survint.


Pendant le procès, le remplacant de Steeve deux e Larivière, Lucio Garcia, une crapule carrieriste a admis qu'il savait que je n'étais pas coupable, que ce procès était de nature politique, mais qu'il ne disposait pas de la lattitude pour l'arrêter. Cet aveux a été enregistré.


À nouveau, j'ai tenté de saisir le ministre bicéphale Jacques Dupuis, mais n'ayant pas les charmes physiques de la Dame des coeurs Couillard, on ne répondit pas à mes appels, me menaçant même d'ajouter de nouvelles accusations à mon encontre.


Malgré toutes ces illégalités, j'ai été acquittée dans un jugement qui blâme sévèrement la police et les procureurs de la couronne.


Encore une fois, pour éviter de longues et coûteuses procédures civiles, j'ai requis la collaboration de notre ministre bicéphale, mais il demeurait occupé à transiger des contrats avec Robert Pépin et la Dame des coeurs Couillard.


Jacques Dupuis a-t-il la probité pour gérer la justice? Je vous le demande, réagissez. Ce qui m'est arrivé peut affecter quiconque voudrait dénoncer la corruption gouvernementale!


Marie-Claude Montpetit

mercredi 5 novembre 2008

DOES MINISTER JACQUES DUPUIS HAVE THE PROBITY TO ADMINISTER JUSTICE ?

Marie-Claude Ginette Montpetit | depuis 6 minutes



Depuis quelques années, le ministre bicéphale de l'injustice et de l'insécurité publique , Jacques Dupuis, a connaissance que certains policiers du Service de police de Montréal et certains procureurs relevant de la Direction des poursuites pénales et criminelles ont commis des actes criminels.


Les procureurs Lucio Garcia et Marie-Ève Rodrigue ont avoué publiquement que les procédures criminelles entreprises à l'encontre de Marie-Claude Montpetit étaient de nature purement politique et qu'elles étaient la conséquence d'une vendetta conduite à son encontre par le Procureur général du Québec. Ces deux procureurs ont aussi admis savoir que Marie-Claude Montpetit n'était pas coupable des accusations qui étaient pourtant maintenues à son encontre et l'ayant complètement ruinée et privée de ses fonctions professionnelles.


Ces paroles prononcées par les procureurs ont fait l'objet d'enregistrements qui pourront être utilisées dans le cadre des procédures civiles à être entreprsies éventuellement.


D'autres procureurs sont aussi fautifs, dont Martine Leclerc et Steeve Larivière qui ont empêché l'autorisations de plaintes criminelles déposées par Marie-Claude Montpetit, car elles mettaient la Direction des poursuites pénales et criminelles dans l'embarras.


En dépit des demandes d'intervention lui ayant été adressées à ce sujet, notre ministre bicéphale fait la sourde oreille et joue à l'autruche depuis maintenant plus de quatre ans.


Ce ministre est-il digne de solliciter à nouveau la confiance du public?


Jacques Dupuis a-t-il la probité necéssaire pour exercer les fonctions de ministre de la justice et de la sécurité publique?


Je vous invite à vous prononcer sur le sujet!


Marie-Claude Montpetit

Canadian Minister of National Security Jacques Dupuis won't recognize the damages suffered by Marie-Claude Montpetit

SERVICE DE CONSULTATION JURIDIQUE SPÉCIALISÉ

EN DROIT DE L’IMMIGRATION ET EN DROIT CARCÉRAL


15, rue Notre-Dame Ouest, Suite 406
Montréal, Québec, H2Y 1S5
Courriel :mparisi@videotron.c

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Montréal, le 5 novembre 2008

Transmission par courrier électronique

Gouvernement du Québec

Monsieur Jacques Dupuis,

Ministre de la sécurité publique et de la justice

2525, boulevard Laurier

5ème étage

Québec (Québec)

G1V 2L2

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Objet : Demande d’intervention relative aux actes criminels commis par des membres du SPVM et des procureurs relevant de la Direction des poursuites pénales et criminelles du Québec

Dossier 500-01-007048-041 et autres y associés

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Monsieur le ministre,


L’annonce faite ce matin par votre collègue et Premier ministre Jean Charest de précipiter la province dans une élection n’aura fait que très peu d’heureux, mais dont je fais cependant partie.


Cette élection me permettra finalement de faire publiquement appel à votre collaboration, que je sollicite d’ailleurs depuis plusieurs années, relativement aux actes criminels commis à mon encontre par des policiers du Service de police de Montréal et des procureurs relevant de la Direction des poursuites pénales et criminelles du Québec.


Depuis 2003, à la connaissance des policiers et procureurs impliqués, j’ai été illégalement l’objet de diverses plaintes policières et poursuites pénales et criminelles non fondées qui ont résulté en des dommages évalués à près de deux millions de dollars et pour lesquelles je dois continuer de débourser des frais dans le cadre d’une poursuite civile.


Pendant la tenue de ces diverses procédures, les policiers et procureurs qui relèvent de vos autorités ministérielles ont fait des aveux ayant servi à confirmer l’absence totale de fondement des plaintes et procédures conduites à mon encontre. Certains de ces aveux ont été verbalisés en présence d’un des procureurs chargés de ma défense, alors que d’autres l’ont été devant les juges saisis desdites procédures.


Votre persistance à ne pas reconnaître les faits mentionnés précédemment et à pérenniser les dommages qui m’ont été causé et qui continuent de l’être mérite qu’un tel comportement soit connu de vos électeurs et cette occasion me sera donnée pendant la présente campagne électorale. Car j’entends effectivement profiter de cette occasion pour les informer du sort que la justice et la sécurité publique m’ont fait subir sous votre gouverne bicéphale des ministères concernés.


Dans l’attente impatiente de vous rencontrer sur le terrain électoral, je vous adresse mes salutations distinguées.


Marie-Claude Montpetit

C.c. Parti Libéral du Québec, Monsieur Jean Charest

C.c. Parti Québécois, Madame Pauline Marois

C.c. Action Démocratique du Québec, Monsieur Mario Dumont

lundi 27 octobre 2008

Le beau-frère de Coderre a appelé Marie-Claude l'intimant de cesser de "harceler" le pauvre Guy A.

Bonjour à toutes et tous,


Je vous demanderais de prendre quelques minutes pour prendre connaissance de la conversation que je viens d'avoir avec le producteur associé de l'émission Tout le Monde en Parle.

Pas assez courageux pour m'y inviter, il voudrait en plus me faire craindre que je serai éventuellement poursuivie en justice pour avoir eu l'extreme culot de recourir à l'appui du public.

Trop lâche pour répondre aux courriers que vous lui avez vous-même envoyés, c'est à moi qu'il s'en prend en utilisant le fait que j'aurais déjà eu des problèmes avec la justice et que je devrais par conséquent avoir une attitude plus obéissante si je ne veux pas que cela recommence.

C'est beau la liberté d'expression: c'est vrai que le principe existe, mais faut pas avoir l'audace de s'en servir, car quand on le fait, on se fait menacer de se faire poursuivre.

Marie-Claude Montpetit




----- Original Message -----
From : mparisi@videotron.ca
To: Guillaume Lesperance
Sent: Monday, October 27, 2008 2:11 PM
Subject: Votre appel de ce jour
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Monsieur Lespérance,


Le présent courriel fait suite au vôtre d'hier ainsi qu'à votre appel de ce jour.

Lors de cet appel, vous me demandiez de modifier des documents qui sont apparemment affichés sur des blogues et que vous qualifiez être miens. Je vous ai répondu que d'après la description que vous me donniez, il me semblait reconnaître des documents que j'ai effectivement rédigés, mais je vous ai démenti le fait que ces blogues soient les miens ou que j'en sois l'opérateur.

Ensuite, vous avez demandé que je cesse de solliciter des gens pour qu'ils écrivent à Monsieur Guy A Lepage, à son adresse courriel personnelle, afin d'obtenir qu'il m'invite à l'émission Tout le Monde en Parle. Vous avez également requis que je demande aux opérateurs des blogues qui ne m'appartiennent pas de retirer les documents déjà affichés au même effet. Je vous ai répondu en refusant vos deux demandes car dans le cas de la première, je ne considère pas que vous ayez le droit de me demander de cesser de solliciter des appuis au soutien de la cause que je défends. Et dans le second cas, même si je le voulais, je ne le pourrais pas car les opérateurs me sont inconnus et que je ne considère pas détenir un quelconque pouvoir coercitif à l'égard de ces personnes, quelles qu'elles soient.

Vous avez également mentionné que je me trouve actuellement à avoir beaucoup de «problèmes légaux», mais sans spécifier le pourquoi de cette mention.

Aussi, vous m'avez qualifiée «d'imbécile» et m'avez dit que si je désirais être invitée à l'émission, je ne m'y prenais pas de la bonne manière. Vous avez baragouinez quelques mots à propos du fait que vous craignez que je vous associe à une quelconque thèse conspirationniste du fait de votre refus, encore une fois sans finir l'objet de votre phrase.


Enfin, compte tenu des refus que j'exprimais à l'égard de vos deux demandes, vous m'avez parlé d'un autre niveau d'action me précisant que vous alliez requérir la collaboration de vos avocats. Ce que je vous ai prestement invité à faire.

Ceci étant, à moins que vous n'ayez à me contacter pour m'inviter à participer à l'émission de Monsieur Lepage, je vous demanderais de ne plus me contacter pour me faire part de vos intentions complètement frivoles dont celle de prétendre que les lettres qui ont été reçues par Monsieur Lepage équivaudraient à la commission d'un acte «d'atteinte à la vie privée» ou d'un acte de harcèlement. Car c'est ce que vous prétendiez et laissiez supposer, sans qu'il ne soit question d'un quelconque sentiment de conspiration.

Marie-Claude Montpetit

C.c.


Ps J'oubliais, vous avez également mentionné que Denis Coderre est votre beau-frère. Bien je dois dire que cela me rend bien heureuse qu'il soit le vôtre et non le mien. Cela fait en sorte que ma famille ne comprend pas de membre criminalisé.

vendredi 24 octobre 2008

Patrick Lagacé remet ça et continue son acharnement en utilisant le journal La Presse pour ce faire

Bonjour à toutes et tous,
Par suite de la parutiion du torchon diffamatoire rédigé par le journaleux Lagacé et publié dans l'édition du 23 octobre 2008 de La Presse, plusieurs personnes s'en sont plaintes auprès du directeur de l'information Monsieur Éric Trottier, et certains ont même déposé des plaintes auprès du Conseil de presse du Québec.
Voilà que cela n'a pas fait l'affaire de Lagacé et qu'il s'est vangé en utilisant son blogue de La Presse pour me salir à nouveau, en utilisant mes plaintes d'hier pour justifier la fausseté qu'il rédigeait dans son article du 23 octobre et selon laquelle je serais un plaideur vexatoire.
Je vous invite à signifier ce fait au directeur de l'information, Monsieur Eric Trottier, en lui envoyant vos courriels à eric.trottier@lapresse.ca et ce pour lui faire savoir que vous avez le droit de ne pas être d'accord avec les propos de Lagacé et que cela ne devrait pas être un motif de vengeance exercé au moyen de l'utilisation d'un blogue appartenant à La Presse.
Je vous invite également à contacter Guy A Lepage à son adresse courriel personnelle pour lui demander de donner une tribune à la vérité et non pas juste aux délirantes allégations de la Dame des coeurs Couillard: guyalepage@videotron.ca
Je vous remercie à l'avance pour votre collaboration,
Marie-Claude Montpetit

jeudi 23 octobre 2008

Le journaleux Patrick Lagacé et la plainte contre lui pour diffamation : va-t-il perdre sa job ?



Il semble que le début de l'action déposée par Marie-Claude Montpetit contre la police de Montréal et visant Denis Coderre en énerve plus d'un.

Aujourd'hui, Patrick Lagacé a fait publier l'un de ses torchons dans le Journal La Presse où il qualifie Gilles Proulx et moi-mêmes de fous. Comme cela ne suffisait pas, il a ajouté que le Mouvement Montréalais pour la vérité sur le 11 septembre n'était constitué que des conspirationnistes qui avaient récupérer cette histoire car ils seraient eux aussi des illuminés au pris avec un problème de «pharmacologie».

En fait, l'article de ce journaleux est complètement faux et non fondé. Ce qui est cependant véridique est que l'opportunité de rédiger et faire paraître un tel article est commandé par le début d'une action qui vise un ti-nami libéral du propriétaire de La Presse.

Patrick Lagacé va aussi loin dans son article que de tenter de nettoyer le net de l'information qui dérange ses ti-namis de la police de Montréal et du Parti Libéral et leurs supporteurs.

Vous êtes toutes et tous invités à fourmuler une plainte auprès du directeur de l'information de La Presse, Monsieur Éric Fortier en lui envoyant un courriel à eric.fortier@lapresse.ca

Vous pouvez également déposer une plainte auprès du Conseil de presse du Québec en remplissant le formulaire en ligne.

Certains médias ne se contentent pas de contrôler l'information en ne publiant que celle qui plaît aux propriétaires, mais en plus, ils voudraient infiltrer les canaux d'information qui existent sur le net. VOYEZ-Y!

Marie-Claude Montpetit

lundi 13 octobre 2008

LA PROSTITUÉE MARIA STERGIOU VIENT D'EN PASSER TOUTE UNE VITE AU SPVM

Marie-Claude Montpetit



Dans la foulée de la Saga Coderre-Montpetit, les nouveaux développement survenus les 2 et 8 octobre 2008 donnent toute une autre saveur à cette affaire qui n'en finit plus de finir. Mais là, nous sommes probablement devant un espoir véritable.


Vous vous souviendrez qu'en 2004, Marie-Claude Montpetit avait fait l'objet d'accusations criminelles non fondées ayant été déposées par la prostituée Maria Stergiou et son présumé conjoint de l'époque, Karol Lukacs. Ces accusations avaient été instiguées par Denis Coderre qui avait offert en échange à ce Lukacs de devenir résident permanent du Canada.


Un an avant que Marie-Claude Montpetit soit acquittée par la Cour du Québec, elle était déjà en possession de suffisemment de preuves pour instituer une action civile contre Stergiou et son complice Lukacs, ce qui fut fait au mois de novembre 2006.


Pendant la tenue de son procès, Marie-Claude Montpetit a pu amasser de la preuve supplémentaire qui allait lui permettre d'ajouter le SPVM comme défendeur à l'action civile déjà intentée contre Stergiou et Lukacs.


Pareillement, de la preuve avait été étalée pendant le procès et permettant de déposer des plaintes criminelles contre Stergiou et Lukacs, ce qui a aussi été fait au printemps 2008.


Au courant des enquêtes policières conduites à l'encontre de Stergiou et Lukacs, aux fins d'empêcher sa mise en accusation, Stergiou avait alors menacé le SPVM de tout déclarer dans le cadre de sa défense, si elle se voyait accusée, et particulièrement d'informer la justice que Lukacs et elle-même avaient été contraints par le SPVM et Denis Coderre de déposer des plaintes contre Marie-Claude Montpetit.


Bien voilà que les développements de ces enquêtes et d'autres faits subséquents ont effectivement mené Stergiou à mettre sa menace à exécution, et le 2 octobre 2008, elle a résolu de déclarer faillite par l'entremise d'un syndic de faillite peu recommandable qui représente plusieurs carabetiers de l'industrie sexuelle. Les procureurs de Marie-Claude Montpetit ont été avisés de cette nouvelle le 8 octobre 2008.


Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le domaine du droit civil, cette faillite aura plusieurs conséquences juridiques influant sur la poursuite déposée par Marie-Claude Montpetit. La première sera évidemment d'exclure Maria Stergiou de la poursuite au titre de défendeur puisqu'elle sera alors devenue insolvable. Cela ne causera pas de grands torts à Marie-Claude Mopntpetit puisque de toutes façons, Stergiou n'aurait jamais été capable d'assumer les dommages réclammés au montant de 2 000 000.00$.


Cette faillite aura plutôt pour effet de favoriser Marie-Claude Montpetit et ce de deux manières: d'abord, l'exclusion de Stergiou comme partie à l'action lui donnera toute la liberté nécessaire pour venir faire les révélations dont elle a menacé la police récemment, et aussi, cela aura pour effet de placer la police seule au banc de la responsabilité civile et déontologique.


Après que la police a posé les gestes décisifs qui ont détruit ma vie professionnelle et ma vie personnelle, je ne devrais pas avoir de compassion, mais je dois dire que, n'étant pas du même acabit criminel que Stergiou, je n'arrive pas à faire autrement que de ressentir de la compassion pour cette police tordue et corrompue. La police s'était pensée bien intélligente en utilisant Stergiou et en se remettant dans ses mains, et comme le disait le sergent-détective Laferrière: «boostée à bloc», bien voilà que leur grande complice vient de leur faire un pied-de-nez en décidant de d'abord sauver sa peau plutôt que la leur.


Si ma mère était vivante, elle dirait: vois-tu ma fille, qui croyait prendre est pris!


Cette procédure commencera le 25 octobre 2008, une date qui arriv à grands pas et qui, ne s'annonce pas pleine de promesses de succès pour la police.


Marie-Claude Montpetit

vendredi 10 octobre 2008

NOUVELLE TENTATIVE DE FAIRE TAIRE MARIE-CLAUDE MONTPETIT : L'INFILTRATION

Bonsoir à toutes et à tous,


Nous venons de recevoir la confirmation que Denis Coderre a infiltré le Mouvement Montréalais pour la vérité sur le 11 septembre pour y faire enlever les deux entrevues anglaise et française que j'avais accordées.

Les membres infiltrés sont Jean-Philippe Burns, un peureux, et Jacques Marcille, un avocat déchu. Leurs courriels ci-joints démontrent qu'ils sont entrés en contact avec Coderre.

Au lieu de me poursuivre, Coderre a choisi d'infiltrer le Mouvement dû au fait que mes entrevues l'embarrassait, mais si celles-ci avaient vraiment été diffamatoires, comme il le prétend, il aurait dû me poursuivre!

Je vous demanderais de faire circuler ces courriels et cette nouvelle car cette dernière attaque de Coderre est le plus grand affront à la liberté d'expression. Voilà qu'il s'en prend au net!



Merci de votre collaboration,


Marie-Claude Montpetit


----- Original Message -----
From: michael pengue (mtl911truth)
Sent: Friday, October 10, 2008 6:59 PM
Subject: Jacques email and my reply,Simon coming on board,great news


In an email I sent to the group this morng I told them:

Reading what Jacques wrote earlier (see below) implies enough for me about where Jacques is coming from. I 'm willing to collaborate as two seperate groups which I think could really work but with Jacques in the picture I certainly can not. Knowing what I know about Coderre I do not like where this could lead.

J. Marcille:

I also took the occasion that was offered to me to make sure that society in general and Coderre in particular knows that the ordinary members of Mtl911Truth had absolutely nothing to do with the campaign to attack him, thus using your website to protect every member of the group that had been excluded from the decision to attack his reputation on your website.

Check out the below email from Simon. I just recd it after your call. This is really great news
for me because it's a clear message that he's on my side with Pat. This past winter it was Simon who spent some three months of his own time to work on the video for my
research on the STM's suspicious contract with that Mossad/CIA connected firm named
Verint Systems (formerly known as Comverse Infosystems).

Coincidentally it was practically right after we released this film that people came to us
wanting to help out Mtl911truth.org. Wow, this is really postive stuff. Especially cause with Pat far away at school I could count on Simon to work on some simple and fancy technical stuff like posting tomrws Couillard 's book signing on the website.

I know you don't like hearing from me again about your book but I can't stop thinking
about it. With Simon on board I feel so energetic that I didn't go take my nap.

Marie-Claude, due to my edginess in financing your book having affected your decision in not accepting my help, once the money runs out with this publisher, would you consider in accepting my money if I give a forgiven loan to Pat and make it appear that he's the originator of the funds? There must be away around this obstacle. Of course I'd have to ask Pat about it.

Can't wait to put Couillard on camera tomorrow. If Pat can't join me hopefully you could. Lise
doesn't want to do it with me but I understand her.

Lise will be helping you out with groceries this week. I'm offering too if you'll ever need some assistance.

Cordially,

MP

---

Date: Fri, 10 Oct 2008 01:00:00 -0400
From: Jacques Marcille
To: mtl911truth@hotmail.com
Subject: Re: I will STAY with Michael

Not all evidence can be made public about someone, for instance on your personal website where all can see it, even if true. When attacking someone, you use only what can be made public. That is what the lawyer determines: This you can use, that you can't. You make public what is true and CAN be made public. You ask people to come to their own conclusions only about those facts. You can also reveal your own conclusions, but based upon what has been publicized. Not based upon what cannot be revealed. The situation has been controlled.

My suspicion about Coderre is not only that some of the evidence against him is false, but that much of it cannot be made public even if true, for a variety of reasons. And that is why it has not been made public at the present time. Making accusations that disparage a person' reputation without proof is defamatory. And this is what has been done to Coderre, and to myself, on the Mtl911Truth website. I know the accusations made against me by "Pierre" are false, all of them. Will I sue you? Not unless you force me to. Sue me, then I will countersue, for sure, and throw the book at you. Otherwise, my method is to use ridicule. And to jump on any occasion to put my message across.

For instance, in responding to "Pierre's" defamation of myself, I challenged him to reveal his identity, I attacked his lack of courage. I also took the occasion that was offered to me to make sure that society in general and Coderre in particular knows that the ordinary members of Mtl911Truth had absolutely nothing to do with the campaign to attack him, thus using your website to protect every member of the group that had been excluded from the decision to attack his reputation on your website. Now if Coderre has enough evidence to sue, and wants to do so, he knows he must restrict himself to only a few people. If he feels too weak to sue, he won't. But the ordinary group members will not have to worry any more. And can finally get on and do useful work, outside of Mtl911Truth.

Jacques




Montreal 911 TRUTH wrote:

Jacques I find it some what odd and interesting seeing your reluctance to harshly critique Coderre.

Awhile back I learned (not from MCM) about his shady rise to power with the help
of some suspicious characters from my neck of the woods. If I get a chance I will write about in a future email.

I've been brainstorming some ideas about how to divide ourselves without doing much harm to one another cause afterall we all have much of the same goals but just different in approach. A 2nd website is obviously inevitable.

Hope to discuss this soon in person and not via email cause it wastes too much time.

Cheers,

Michael

LE CAPITAINE BONHOMME EST MALHEUREUSEMENT DÉCÉDÉ, MAIS IL NOUS RESTE LE CAPITAINE CLAUDE POIRIER, «CTÉ-I-VIDENT»

LE CAPITAINE BONHOMME EST MALHEUREUSEMENT DÉCÉDÉ, MAIS IL NOUS RESTE LE CAPITAINE CLAUDE POIRIER, «CTÉ-I-VIDENT»


Vraiment, je ne comprends pas qu'une chaine d'information qui se veut être sérieuse puisse accepter de prêter son antenne au «Capitaine Poirier», qui n'est rien d'autre qu'un «rapporteux», frustré de ne pas avoir joint les forces policières. Ceci dit en passant, quand même la police veut pas de quelqu'un, ça en dit long sur l'incompétence et l'ignorance de ce quelqu'un.


Si ce Claude Poirier se présentait aujourd'hui auprès du service des ressources humaines d'un quelconque média, il ne serait jamais engagé, sinon que pour passer le balai dans des couloirs peu achalandés, et ce de peur qu'il invective quiconque de bêtises.


Ce matin, sur les ondes de TVA, dans le cadre de l'émission «Le vrai négociateur» (tu parles d'un titre à propension de désinformation), nous avons eu droit à deux exemples probants de l'incompétence et de l'ignorance crasse dont sait faire preuve le «Capitaine Poirier». En effet, il a débuté cette émission en nous disant que «Le corps d'une femme qui n'était ni une femme ni un homme mais le corps d'une femme avait été retrouvé». Même avec toute la bonne volonté du monde, même les connaisseurs de language Morse ou ceux qui apprécient le Capitaine, même pour eux, il leurs était absolument impossible de comprendre ou de déchiffrer cette phrase. Certains diront à la défense du «Capitaine Poirier» que ce n'est qu'une bourde, qu'il s'est trompé, et que c'est sans conséquence. Bien moi je dis que si ce n'était qu'une bourde, Poirier est toujours dans les bourdes, car c'est pratiquement quotidiennement que cet ignare nous en sort des bourdes comme celle de ce matin. Ça fait bien longtemps que les Perronismes sont de loin dépassés par les Poirieristes!


Certains autres diront encore à sa défense que ce n'est pas de sa faute, qu'il souffre de défauts d'allocution graves et qu'il n'a que très peu de vocabulaire, mais que ce n'est pas important. Bien moi je trouve que cela n'est pas inimportant, et surtout quand on pense à la nouvelle génération montante de journalistes compétents, qui peinent à se trouver du travail, alors que le «Capitaine Poirier,» lui, bénéficie d'une tribune d'exception pour nous empester de ses bourdes, défauts d'allocution, et en plus, de ses vilaineries.


Oui, oui, de ses vilaineries. Car par suite de son commentaire incompréhensible sur la femme qui n'était ni une femme ni un homme mais qui a été retrouvé ( je ne sais pas si je dois mettre un e à ce mot) comme le corps d'une femme, les auditeurs d'aujourd'hui ont eu le droit de gouter au venin du «Capitaine Poirier», lorsqu'il a traité Monsieur Gilles Proulx de «pseudo-animateur», qui selon Poirier, s'improviserait dans les affaires de faits divers dont seul Poirier aurait la compétence pour en traiter. Les vomissures venimeuses du «Capitaine Poirier» ne se sont pas arrêtées là, il en a remis et s'en est pris à un auditeur intrépide qui a eu le courage de soulever l'inexactitude des propos du «Capitaine Poirier» concernant un des multiples amants de la Dame des coeurs Couillard.


D'ailleurs, parlant d'elle, cela me remémore que la seule émission du Capitaine Poirier où je ne l'ai pas trouvé discordant avec son invitée était justement celle où il recevait la Dame des coeurs Couillard. Il y avait entre-eux une parfaite harmonie, tant au niveau du langage que du contenu de leurs propos.


Il y eut autrefois un groupe de chanteurs qui nous ont chanté «Libérez-nous des Libéraux», et bien moi, je vous chante: Ramenez-nous le Capitaine Bonhomme et purgez-nous du Capitaine Poirier!


À bon entendeur, salut.



Marie-Claude Montpetit

mardi 7 octobre 2008

ENREGISTREMENT DE LA CONFÉRENCE À LA SOCIÉTÉ SAINT-JEAN-BAPTISTE DE MONTRÉAL

ENREGISTREMENT DE LA CONFÉRENCE À LA SOCIÉTÉ SAINT-JEAN-BAPTISTE DE MONTRÉAL

Bonjour,

Voici l'adresse électronique à partir de laquelle vous pourrez visionner la conférence que je donnais sur la tribune de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal le 2 octobre 2008:

partie 1:
http://blip.tv/file/1332766
partie 2:
http://bironcorp.blip.tv/#1339573


Merci de vous y intéresser et de le faire circuler.

Marie-Claude Montpetit

UN AUTRE ÉPISODE DE LA SAGA CODERRE-MONTPETIT: CORINA CIRCA, UNE CHANTEUSE D'OPÉRA QUI SE TRANSFORME EN MAÎTRE-CHANTEUR

UN AUTRE ÉPISODE DE LA SAGA CODERRE-MONTPETIT: CORINA CIRCA, UNE CHANTEUSE D'OPÉRA QUI SE TRANSFORME EN MAÎTRE-CHANTEUR

Depuis que Denis Coderre a fait instiguer des plaintes criminelles non fondées à l'encontre de Marie-Claude Montpetit, celle-ci a été forcée de dépenser 628 000.00$ dollars pour assumer les coûts des frais judiciaires et extra-judiciaires liés à ces fausses accusations.

Par suite de ces dépenses, lors de son dernier acquittement, en février 2008, Marie-Claude Montpetit s'est retrouvée dans un état d'indigence complète et dans l'incapacité de gagner un revenu pour subvenir à ses besoins essentiels.

Pendant le procès qui a finalement été conclu en février 2008, une prétendue amie de Marie-Claude Montpetit, Corina Circa , qui a exercé les fonctions d'interprète hongroise auprès de la Cour du Québec a alors été à même de constater la fausseté des accusations qui avaient été déposées à l'encontre de Marie-Claude Montpetit, l'existence d'éléments de preuves qui avaient été fabriqués au soutien de ces accusation, et, l'implication criminelle de Denis Coderre et du SPVM dans l'instigation et la conduite de ces accusations.

Corina Circa , qui avait connu Marie-Claude Montpetit préalablement à la tenue de ce procès pour avoir souvent travaillé avec elle au titre d'interprète pour la clientèle de Marie-Claude Montpetit, a déclaré qu'elle trouvait la situation absolument scandaleuse et qu'il était innaceptable que Marie-Claude Montpetit se retrouve dans une pareille situation d'indigence.

Comme Corina Circa est aussi une chanteuse d'opéra, Marie-Claude Montpetit lui avait demandé si elle accepterait de donner un spectacle bénéfices, en compagnie de d'autres artistes, pour ainsi récolter des fonds qui lui permettraient de survivre en attendant qu'elle puisse recommancer à subvenir à ses besoins. Bien que Corina Circa était alors sincèrement désireuse d'offrir son aide et son secours, elle craignait d'être victime de représailles en posant des gestes publiquement, qui puissent venir à la connaissance des autorités politiques qui l'engagent au titre d'interprète judiciaire.

Corina Circa a cependant offert à Marie-Claude Montpetit de la soutenir financièrement le temps que les choses se rétablissent un peu, ce que Marie-Claude Montpetit a d'abord refusé ne sachant pas à quel moment elle pourrait rembourser les argents offerts. Corina Circa et sa collègue Kornelia Kozma ont néanmoins insisté à plusieurs reprises pour aider Marie-Claude Montpetit et des argents lui furent effectivement prêtés pour qu'elle puisse au moins se procurer de la nourriture et assumer les paiements de quelques comptes urgents pour des services tels qu'une ligne téléphonique et un accès internet.

En la présence de Corina Circa , au mois de juillet 2008, Marie-Claude Montpetit a reçu une proposition d'affaires qui allait lui permettre de rétablir sa pratique privée en matière d'immigration, et donc de recommencer à travailler et à gagner un revenu, mais qui exigeait cependant que Marie-Claude Montpetit soit mobile et puisse se déplacer fréquemment, nécessitant ainsi l'utilisation d'une voiture.

Corina Circa a alors fortement encouragé Marie-Claude Montpetit a s'engager dans cette proposition en lui assurant qu'elle lui fournirait l'aide nécessaire pour se procurer une voiture. Ce qui fut fait en date du 8 août 2008.

Le 5 octobre 2008, Marie-Claude Montpetit a reçu un courriel de la part d'un dénommé Banciu Mircia Desideriu dans lequel cet individu prétend être le représentant de Corina Circa et où il invective Marie-Claude Montpetit de propos plus dffamatoires et vexatoires les uns que les autres. Ce courriel contient aussi des propos menacant et intimidant Marie-Claude Montpetit.

Le 6 octobre 2008, Marie-Claude Montpetit a tenté à plusieurs reprises de contacter Corina Circa mais en vain, et le 7, elle a reçu un second courriel de ce même Desideriu, dans lequel il est clairement mentionné que Corina Circa , connaissant les problèmes existant entre Marie-Claude Montpetit, le SPVM et Denis Coderre, s'assurait de déposer une plainte de vol au SPVM en plus d'avoir déjà rencontré Denis Coderre.

Aussi, à la date du 7 octobre 2008, Marie-Claude Montpetit a reçu un appel téléphonique de la part d'un dénommé Ian Paquette , policier du SPVM qui mentionnait à Marie-Claude Montpetit qu'elle serait accusée de possession illégale de la voiture de Corina Circa si elle refusait de lui remettre la voiture prêtée. Marie-Claude Montpetit a avisé le constable Paquette qu'elle trouvait particulièrement étonnant que la police accepte de s'occuper d'une affaire civile, alors que lorsque des plaintes criminelles furent portées par Marie-Claude Montpetit, la police n'avait jamais trouvé le temps de les enquêter, et ce même si ces plaintes référaient à des infractions très graves telles que des agressions physiques.

De par le dernier courriel envoyé par le dénommé Desideriu , Marie-Claude Montpetit comprend que le fait qu'elle ait pu compter sur le soutien de celle qui se prétendait être une amie a fortement déplu à Denis Coderre, et que ce dernier a certainement influencé Corina Circa pour qu'elle retire son soutien à Marie-Claude Montpetit. Il est certain que lorsque Marie-Claude Montpetit peut se permettre d'assouvir sa faim et qu'elle jouit d'une certaine mobilité, elle est plus à même de combattre ce bon et que trop honnête Denis Coderre.

Marie-Claude Montpetit

POSSESSION DE DOCUMENTS GOUVERNEMENTAUX SECRETS? LES VERSIONS CONTRADICTOIRES DE JULIE COUILLARD

POSSESSION DE DOCUMENTS GOUVERNEMENTAUX SECRETS? LES VERSIONS CONTRADICTOIRES DE JULIE COUILLARD

La Dame des coeurs Couillard clâme à grands cris avoir écrit un livre pour le seul motif de faire valoir son droit à rétablir les faits survenus pendant sa relation avec le ministre Maxime Bernier.

Serait-elle en train de se pendre avec les pages qu'elle a narrées? Il semble que oui! Les versions verbales et écrites relativement à sa possession de documents gouvernementaux protégés diffèrent et laissent entrevoir que son livre aurait été écrit pour d'autres motifs que simplement celui de vouloir rétablir les faits.

Vous vous souviendrez de son entrevue consentie à TVA, qui fut conduite par Paul Larocque en présence de Luc Lavoie. Lors de celle-ci, la Dame des coeurs Couillard a déclaré s'être retrouvée en possession de documents gouvernementaux qualifiés protégés, inopinément, et suite à ce que le ministre Bernier les aurait laissés à sa résidence. Or depuis la sortie de son livre, Couillard a ajouté à cette version initiale que Bernier lui aurait également demandé spécifiquement de jeter ces documents à la poubelle.

Qu'est qui explique cet ajout dans les versions proposées par la Dame des coeurs Couillard? Simplement le droit criminel et la probabilité que Couillard soit éventuellement accusée en vertu du Code criminel.

Je vous explique, il y a une raison purement juridique à ce changement de versions des faits. Dans le cas de la version initiale, les faits que nous rapportait Couillard (avoir été en possession de documents gouvernementaux et en avoir exercé la rétention sans droit ou justification) donaient lieu à ce qu'elle soit seule accusée de plusieurs infractions criminelles à l'encontre desquelles la seule défense recevable aurait été de nier la possession et la rétention. Une défense qui avait cessé de s'ofrir à Couillard par cause des déclarations qu'elle avait elle-même faites lors de son entrevue initiale.

C'est cette privation volontaire de la seule défense qui s'offrait à elle pour empêcher qu'elle soit éventuellement accusée criminellement qui a fait en sorte d'inciter Couillard à modifier sa version des faits. Et comme cette version était désormais publique, elle ne pouvait plus la modifier d'une manière qui soit contadictoire, lui laissant ainsi la seule opportunité de la modifier en y ajoutant des détails qui n'auraient pas encore été rendus publics.

C'est donc dans cette perspective que Couillard nous a récemment présenté sa nouvelle version, «au long», des faits présument survenus. Avec sa nouvelle version des faits (avoir été en possession de documents gouvernentaux que le titutlaire, Maxime Bernier, lui aurait présentés comme étant des documents inimportants et devant être jetés à la poubelle), Couillard se trouve maintenant à se disculper de la commission d'un quelconque acte répréhensible criminellement. Cette nouvelle version lui permet aussi de rejeter l'entièreté du blâme sur la personne de Bernier, qui, lui, aurait alors commis les infractions criminelles de remettre des documents protégés à une personne non désignée par la Loi à les recevoir ,ainsi que d'en avoir disposer autrement que selon les dispositions de la loi.

Cette nuance juridique explique la motivation récente de Couillard à insister sur le fait que Bernier aurait commis une faute professionnelle, et qu'il aurait agi seul, de manière irresponsable: «C'est lui le ministre».

Vous constaterez bientôt que dans les semaines qui suivront, Couillard va de plus en plus insister sur l'irresponsabilité de Bernier, et ce dans le but de lancer un message à la GRC comme quoi elle est déjà en possession d'une défense solide, et qu'il serait par conséquent inutile de l'enquêter ou de l'accuser criminellement.

Finalement, n'oublions pas de mentionner que les médias qui se font actuellement le porte-voix de la Dame des coeurs Couillard lui permettent en fait de bénéficier d'une tribune publique qui semble vouloir servir à faire avorter une enquête de la GRC qui n'en n'est pourtant qu'à ses balbutiements. Cela frise l'entrave à la justice!

Marie-Claude Montpetit

lundi 6 octobre 2008

JULIE COUILLARD CONFIRME: LE PARTI CONSERVATEUR A OFFERT DE PAYER SES FRAIS D'AVOCATS DANS L'AFFAIRE DE LA POSSESSION DE DOCUMENTS PROTÉGÉS

JULIE COUILLARD CONFIRME LES ALLÉGATIONS DE MARIE-CLAUDE MONTPETIT: LE PARTI CONSERVATEUR A OFFERT DE PAYER SES FRAIS D'AVOCATS DANS L'AFFAIRE DE LA POSSESSION DE DOCUMENT QUALIFIÉ PROTÉGÉ


Depuis le mois de mai 2008, Marie-Claude Montpetit a déclaré privément aux médias et publiquement aux internautes, que le Parti Consevateur du Canada avait offert à Julie Couillard d'assumer le paiement des frais d'avocat à être encourus par Julie Couillard relativement à sa possession de documents gouvernementaux. Et voilà que ce matin, sur les ondes de TVA, Julie Couillard a confirmé les allégations faites par Marie-Claude Montpetit.

Madame Montpetit a aussi déclaré que cette initiative du Parti Conservateur avait été mise de l'avant pour que le Parti puisse se débarrasser légalement et sans critique de la présence du ministre Bernier au sein du cabinet des ministres; une présence qui devenait de plus en plus embarrassante pour le Parti, compte tenu, entre autres choses, des opinions du ministre Bernier sur l'inexistence de motif humanitaire de maintenir l'effort militaire canadien en Afghanistan.

Bien que les médias continuent de bouder Marie-Claude Montpetit et qu'ils persistent à lui dénier le droit de faire valoir ses prétentions publiquement sous prétexte que ses prétentions ne seraient pas corroborées, il n'en demeure pas moins que ses allégations se voient être confirmées par Julie Couillard, celle à qui les médias accordent sans réserve une crédibilité.

Marie-Claude Montpetit

samedi 4 octobre 2008

Conférence de Marie-Claude Montpetit à la SSJB, 2 octobre 2008: Plan et Bibliographie

SYNOPSIS

HISTORIQUE DE LA FACILITATION LÉGISLATIVE ET POLITIQUE DE L’IMMIGRATION SEXUELLE AU CANADA

Les engagements internationaux contractés par le Canada en vue de combattre la traite transfrontalière de personnes et l’harmonisation du droit canadien

1* Juin 2002 – Amendement de la Loi sur l’immigration de 1978 : nouvelle Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés incluant des dispositions précises visant à combattre et punir la traite transfrontalière de personnes

· Inclusion de l’article 118 définissant l’infraction de traite de personnes : «Organiser sciemment l’entrée au Canada d’une ou de plusieurs personnes par fraude, tromperie, enlèvement ou usage de la force ou de coercition»

· La détermination d’une peine d’emprisonnement à perpétuité pour les commettants.

2* Février 2004 - Création par le Ministère de la justice du Canada du Groupe interministériel sur la traite des personnes et octroi d’un mandat pour coordonner et améliorer les efforts déployés par le gouvernement canadien dans sa lutte contre la traite des personnes. Le ministère de la Citoyenneté et immigration Canada fait partie de ce Groupe.


3* Mars 2004 - Colloque organisé par le Groupe interministériel sur la traite des personnes : formant la police, les procureurs de la couronne, les agents d’immigration, des douanes et affaires consulaires.

· Adoption d’une définition et description de l’acte de traite des personnes : «La traite des personnes constitue une forme moderne d’esclavage, qui comprend le recrutement, le transport ou l’hébergement de victimes à des fins d’exploitation sexuelle ou autre, à l’échelle internationale et nationale. Habituellement les victimes sont trompées ou forcées de travailler dans l’industrie du sexe ou d’effectuer d’autres formes de travail forcé (programme d’aide familial / Illustration par le cas Marhfoul). Elles subissent de la violence physique, sexuelle et émotionnelle, notamment des menaces de violences ou des préjudices réels qui sont aggravés par leurs conditions de vie et de travail.

Les Nations-Unies estiment que plus de 700 000 personnes, principalement des femmes et des enfants, sont victimes de la traite dans le monde chaque année, et que celle-ci produit des revenus annuels frôlant les 15 milliards de dollars US à l’échelle mondiale.

4* Septembre 2005 - Établissement par la GRC d’un Centre national de coordination contre la traite de personnes. Ce Centre policier est partie intégrante du Ministère de la Citoyenneté et Immigration Canada et a pour mission d’éduquer et d’assister les agents du Ministère dans l’application des nouvelles dispositions de la Loi sur l’immigration portant sur la traite des personnes.


5* 25 novembre 2005 – Amendement du Code criminel canadien pour le rendre compatible aux engagements internationaux contractés par le Canada en matière et contrant la traite de personnes

· Projet de loi C-49 : ajoutant les articles 279.01 à 279.04 pour interdire et criminaliser la traite de personnes au Canada

«279.01 Quiconque recrute, transporte, transfère, reçoit détient, cache ou héberge une personne, ou exerce un contrôle, une direction ou une influence sur les mouvements d’une personne, en vue de l’exploiter ou de faciliter son exploitation commet une infraction passible, sur déclaration de culpabilité par voie de mise en accusation :

a) d’un emprisonnement à perpétuité, s’il enlève la personne, se livre à des voies de fait graves ou une agression sexuelle grave sur elle ou cause sa mort lors de la perpétration de l’infraction

b) d’un emprisonnement maximal de quatorze ans dans les autres cas»

279.02 Interdit de tirer un avantage économique de la traite de personnes sous peine d’un emprisonnement maximal de dix ans, et 279.03, qui vise les gestes commis aux fins de retenir ou de détruire les documents d’une personne dans le but de contraindre cette personne à ce soumettre à la traite de personnes. Ces gestes sont aussi passible d’une peine d’emprisonnement maximale de cinq ans.

· Les dispositions générales du Code criminel traitant des infractions liées à la prostitution, infliger des lésions corporelles, l’enlèvement et la séquestration, l’intimidation, le complot et le crime organisé sont aussi incluses dans les moyens législatifs que le Canada prévoit utiliser pour lutter contre la traite de personnes

6* Mai 2006 & juin 2007 – Mise en œuvre et amendement d’une politique d’immigration reconnaissant l’existence au Canada de victimes de la traite transfrontalière de personnes

· Octroi et délivrances de permis de séjour temporaire et de travail aux personnes reconnues comme étant des victimes de la traite de personnes

7* Décembre 2006 - Étude et recommandations faites par le Comité fédéral permanent de la justice et des droits de la personne relativement à la problématique de la traite de personnes et les liens existant avec le milieu de la prostitution au Canada

· Ce Comité a conclue son étude en recommandant le renforcement de l’instigation de poursuites criminelles et pénales contre les trafiquants, reconnaissant ainsi l’existence de la problématique de la traite de personnes sur le territoire canadien et l’urgence à agir judiciairement

· Cette recommandation ne fut jamais mise en œuvre et en date d’aujourd’hui, aucun trafiquant de personnes ne fut jamais traduit devant les tribunaux canadiens pour des actes de traite de personnes

8* Février 2007 - Étude et recommandations faites par le Comité fédéral permanent de la condition féminine relativement à la problématique de la traite de personnes et les liens existant avec l’industrie sexuelle canadienne

· Les recommandations de ce Comité sont regroupées sous la théorie des «3P», soit la protection des victimes, les poursuites criminelles et pénale tant des trafiquants que des clients, et le troisième «P» pour prévention

· Le Comité avait recommandé la création d’un Bureau canadien de lutte à la traite de personnes, mais le gouvernement conservateur a ignoré cette recommandation. Il avait aussi été suggéré qu’un poste de rapporteur ou ombudsman soit créé pour faire rapport au Parlement sur la situation de la traite de personnes, mais cette suggestion fut également ignorée.

La pseudo abolition du programme de bonification des danseurs et danseuses exotiques ou la répudiation de facto des engagements internationaux du Canada en matière de lutte à la traite de personnes

1* 16 mai 2007 - projet de loi C-57 : modifiant la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés / n’abolissant pas le programme de bonification des danseurs et danseuses exotiques (menaces de poursuite judiciaires par les dirigeants de l’industrie sexuelle) / mais donnant un pouvoir discrétionnaire au représentants du ministre de la Citoyenneté et Immigration Canada, soit les agents d’immigration bénéficiant d’une délégation ministérielle, de refuser d’autoriser, au cas par cas, les entrées d’étrangers venus au Canada pour y exercer un emploi de nature sexuelle, s’ils estiment que ces étrangers risquent d’être exploités ou de compromettre la santé et la sécurité publique

· Maintien de l’état de pénurie des employés oeuvrant dans l’industrie sexuelle (DRHC / 1997 / 2007) (Menaces faites au ministre Finley au printemps 2008) (Lien entre le reprises de la relation Bernier-Couillard)

· Abolition de la procédure accélérée : nécessité d’obtenir une validation relative à l’employeur et l’emploi (Compromis ministériel en réponse aux menaces du lobby sexuel)

· Conséquences prévisibles de ce projet de loi : nuire aux personnes que ce projet tente d’aider, les migrants, en les forçant à travailler dans des endroits clandestins où ils seront hors d’atteinte des autorités appliquant les normes sécuritaires et d’hygiène; renforcer et accroître les pouvoirs des trafiquants sur les migrants du fait de cette clandestinité

· Ce projet de loi, en plus de maintenir les dispositions facilitant la traite des personnes et l’encouragement de l’immigration sexuelle, ne prévoit aucun renforcement de l’application des dispositions devant servir à poursuivre les trafiquants devant la justice

Les cas d’exemples de facilitation et de bonification politique de l’immigration sexuelle au Canada


1* 1997/2008 - Caractère international de la traite sexuelle de personnes et Israël agissant comme plaque tournante de l’industrie mondiale

2* 2004 - L’affaire du Ministre Sgro et des danseuses roumaines

3* 2002/2003 - L’affaire Marhfoul et le silence complice de Denis Coderre


4* 2003/2008 - L’affaire Ambassador’s Club





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Bibliographie:


Victor Malarek
http://en.wikipedia.org/wiki/Malarek

Son livre peut-être lu sur le web gratuitement sur google books
The Natashas: Inside the global sex trade


100,000's Of East European Women Sold For Sex
The Natashas - The New Global Sex Trade, review by Stephen Henighan of a Book By Victor Malarek


Review of the book

Portrait of a Modern Slave Trader, Ludwig Fainberg, by Victor Malarek

Autres articles de Malarek


Sur Malarek et son livre:
Trafficking in women a worldwide epidemic, Malarek says,Up to - 10,000 trafficked women in Israel and more than 280 brothels in Tel Aviv alone**

Interview w/ Victor Malarek
Interview w/ Malarek

Russian 'Natasha' relives life as a sex slave Russia Today January 27, 2008

Natasha From Russia « Natalia Antonova

"Terre promise", un film d’Amos Gitaï sur la traite des femmes

Daryl Hannah and Sex Slave Trade:
Actress Daryl Hannah is hoping to bring awareness to the devastating effects of global sex trafficking going on around the world -- after revealing her own near-miss with a sex slave ring.
http://www.sixwise.com/newsletters/07/01/31/daryl-hannah-sex-slaves--amp-the-new-global-sex-trade.htm
http://www.amw.com/features/feature_story_detail.cfm?id=1299
http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/showbiz/bizarre/online/article6896.ece
Interview w/Daryl Hannah Daryl Hannah: Saving Sex Slaves

Sex Trafficking Reference Guide The Carolina Women’s Center, Chapel Hill, NC Compiled by Sarah Schwarz April, 2007

Internet ressources: Human Trafficking

Human Trafficking (pdf) - Human Rights And Human Welfare

ORGANIZED CRIME AND HUMAN TRAFFICKING IN CANADA

Grand Prix brings human trafficking, sex trade to Montreal: activists

Traite des blanches: Le commerce d'esclave conduit à Israël
Asia Times Online, 5 septembre 2008, article original : "Slave trade heads to Israel"

Task Force on Human Trafficking - Sex Slaves in the Land of Israel

Entretien avec H. Ryssen publié dans l'hebdomadaire Rivarol le 14 mars 2008, au moment de la parution d'une brochure de 32 pages intitulé Israël et la traite des Blanches